
Thérapie pour l’anxiété dans un cadre rassurant et stable
Quand l’anxiété prend toute la place
Elle arrive sans prévenir. Parfois au réveil ou au coucher. Parfois juste avant un appel. Elle monte dans la gorge. Elle serre le ventre. Elle brouille les pensées. L’anxiété n’est pas une faiblesse. C’est une alerte. Un signal profond. Mais lorsque cette tentative de protection est déréglée, en constante activité, elle perd sa fonction d’origine et devient un piège.
La thérapie pour l’anxiété proposé par Marina Cavassilas n’essaie pas de la faire taire. Elle lui laisse un espace. Elle lui offre des mots. Dans ce cadre bienveillant, l’anxiété peut se déplier, se dire, se comprendre. Le travail commence ici : ne plus lutter contre, mais écouter autrement.
Chaque séance devient une pause. Un arrêt dans le tumulte. On y apprend à repérer les déclencheurs, mais aussi les répétitions. Car l’anxiété ne vient jamais seule. Elle parle d’un passé, d’un attachement, d’une peur. Elle prend racine dans des expériences parfois anciennes, encodées dans une mémoire émotionnelle qui déclenchent des comportements de survie automatiques au moindre signe perturbateur.
Mon approche est douce et rassurante. Elle suit le rythme du corps et de la parole. Elle s’adresse aux personnes traversées par des inquiétudes constantes, une tension intérieure, une difficulté à respirer. Ou à celles qui n’en peuvent plus d’anticiper, de contrôler, de craindre. Cette psychothérapie pour traiter l’anxiété n’impose rien. Elle accompagne pas à pas vers la sérénité.
Parfois, ce mal-être se mêle à d'autres troubles. Il arrive que l’anxiété cache une fatigue plus profonde, un épuisement intérieur. Le lien avec l’accompagnement burn out peut alors être envisagé. Tout est lié, et ce qui se joue aujourd’hui s’enracine souvent bien avant.
L’anxiété relationnelle, cette présence invisible dans les liens
Elle s’invite dans chaque échange. Elle murmure : « suis-je de trop ? », « est-ce que je dérange ? », « que pense-t-il de moi ? ». L’anxiété relationnelle est une compagne tenace. Elle se glisse dans les silences, dans les regards, dans les attentes. Elle fabrique des malentendus. Elle éloigne quand on voudrait se rapprocher.
La thérapie pour l’anxiété permet de remettre du clair dans cette confusion. De poser des mots sur les blessures du lien. D’explorer les peurs anciennes qui se rejouent dans les relations d’aujourd’hui. Ici, il ne s’agit pas de « mieux communiquer ». Il s’agit d’entendre ce que l’anxiété veut protéger. Et de voir à quel moment elle devient enfermante.
Le cadre analytique proposé permet ce travail en profondeur. Chaque mot, chaque ressenti, chaque évitement devient une matière à explorer. Les liens familiaux, les premières relations, les déceptions, les abandons. Tout cela a laissé une empreinte. Parfois invisible. Mais bien vivante.
Cette lecture ne culpabilise pas. Elle éclaire. Elle aide à sortir du flou, du doute permanent. Et elle redonne une place à celui ou celle qui, longtemps, s’est ajusté aux autres au point de s’oublier.
Dans certains cas, ce travail peut s’inscrire dans un accompagnement plus large, incluant une psychothérapie pour la dépression, si la perte d’élan devient trop forte. Là encore, il ne s’agit pas d’étiqueter. Juste de comprendre ce qui se joue.
Une approche singulière pour des angoisses singulières
Chaque personne vit son anxiété à sa façon. Chez certains, elle se manifeste par des crises. Chez d'autres, par une agitation permanente. Certains fuient. D’autres s’effondrent. Il n’y a pas de norme ici. Juste des vécus à accueillir, à comprendre, à transformer.
L’approche psy de Marina Cavassilas pour l’anxiété s’ancre dans l’écoute de la parole, mais aussi du corps. Car l’anxiété se loge dans les tensions, les douleurs, les insomnies. Elle se dit dans les gestes autant que dans les mots. Le cabinet devient un lieu d’observation fine, de décryptage respectueux.
Cette méthode ne cherche pas la performance. Elle ne vise pas à « devenir zen ». Elle ouvre un chemin vers plus de conscience, plus de liberté intérieure. Vers une meilleure capacité à se voir faire, avant de faire. À se réunir intérieurement pour s’auto-réguler tout doucement.
La thérapie pour l’anxiété permet de comprendre les mécanismes défensifs, les peurs inconscientes, les injonctions internes. Elle éclaire les racines de ce trouble, au-delà des symptômes visibles. Ce travail de fond est souvent la clé pour une évolution durable.
L’objectif n’est pas d’effacer le symptôme visible qu’est l'anxiété. Mais d’en déraciner les causes anciennes ou actuelles pour ne plus laisser la peur décider à votre place. Après une thérapie anxiété, il est possible d’exister autrement.
Ce processus se déroule lors d'une séance de psychanalyste à Paris, dans le 2e ou 10e arrondissement, ou en téléconsultation. Le lieu importe peu. Ce qui compte, c’est l’espace intérieur que la thérapie vient créer. Un espace où vous pouvez être sans devoir prouver. Ni fuir.
Ce travail vous offre une aide pour traiter durablement l’anxiété. Pas en surface. En profondeur. Il permet de repérer les zones d’ombre, d’écouter les tensions, de dénouer les nœuds. Et, peu à peu, d’habiter sa vie plus pleinement.
FAQ
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La thérapie peut-elle vraiment soulager une anxiété ancienne ?
Oui. La thérapie pour l’anxiété permet de comprendre les origines et d’agir sur les racines du trouble, pas seulement sur les symptômes. -
Comment savoir si mon anxiété est relationnelle ?
Si les interactions vous inquiètent, si vous vous remettez souvent en question dans les liens, il s’agit peut-être d’une anxiété relationnelle. -
Quelle est la différence entre une psychanalyse et une psychothérapie pour l’anxiété ?
La psychothérapie pour traiter l’anxiété peut s’inspirer de l’analyse qui cherche les causes profondes d’un trouble. L’objectif est d’adapter l’approche à votre vécu. -
Le cabinet est-il adapté aux personnes très anxieuses ?
Oui. L’accueil se fait sans pression. Le rythme est ajusté. Vous pouvez commencer à votre rythme, avec ou sans visio. -
Et si mon anxiété cache une dépression ou un burn out ?
Il est possible d’en parler pendant les séances. Un accompagnement burn out ou une psychothérapie pour la dépression peut être proposé si nécessaire.


