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Accompagnement du burn out pour se relever sans culpabilité

Quand le mental est surmené, le corps flanche

Le burn out n’apparaît pas du jour au lendemain. Il s’infiltre, doucement, jusqu’à ce que l’épuisement devienne une norme. Dormir ne repose plus. Penser devient un effort. Travailler, impossible. L’accompagnement du burn out proposé en cabinet dans le 2e ou le 10e arrondissement de Paris, ou en téléconsultation, offre un espace où déposer cet effondrement. Ici, aucune pression pour aller mieux vite. Juste l’autorisation d’être soi et de dire l’épuisement, les limites qui ont été dépassées.

L’aide pour sortir du burn out ne commence pas par des conseils ou des recettes. Elle débute par une rencontre. Une écoute qui ne juge pas. Une présence stable pour remettre du sens dans un quotidien oppressé et fragmenté. C’est dans cette stabilité qu’émerge, peu à peu, la possibilité de se remettre en lien avec soi.

Les séances durent 45 minutes, toujours dans un cadre confidentiel. Elles s’appuient autant sur la parole que sur le langage du corps, souvent mis à rude épreuve par l’épuisement. Ce travail peut aussi permettre d’identifier les blessures anciennes qui se réactivent dans le monde professionnel, et parfois bien au-delà.

L’approche analytique de Marina Cavassilas, psychanalyste à Paris, permet de retrouver une continuité intérieure. Pas à pas. Sans masque. Sans performance.

Explorer ce qui s’est effondré

Lorsque l’on parle de thérapie spécialisée dans le burn out, on imagine parfois un protocole. Mais ici, l’accompagnement est tout sauf figé. Il s’adapte au rythme de chacun. L’objectif n’est pas de retourner au travail à tout prix, mais de comprendre ce qui, dans l’histoire du sujet, a rendu cette chute possible. Quelles injonctions ont été intériorisées ? Quel rôle le surmenage joue-t-il dans la construction de soi ?

La psychothérapie pour la dépression peut parfois croiser celle du burn out. Les deux partagent une perte d’élan vital, une fatigue psychique intense. Pourtant, leurs racines diffèrent souvent. Le burn out, lui, est fréquemment lié à un excès de don de soi, une tendance à s’oublier dans la tâche, à faire passer l’autre en premier – ou l’entreprise – avant ses propres besoins.

Le travail proposé lors de cet accompagnement psy pour le burn out permet de revisiter l’histoire personnelle sous cet angle. Pas pour s’y enfermer, mais pour y puiser des clés. Comprendre comment on en est arrivé là, c’est déjà commencer à en sortir.

Le lien avec les troubles anxieux est aussi très fréquent. L’anxiété, souvent installée de longue date, peut pousser à tout anticiper, tout contrôler, jusqu’à l’épuisement. Dans ce cas, une thérapie anxiété parallèle ou complémentaire peut être envisagée. Là encore, le fil rouge reste la parole libre, accueillie sans jugement.

Retrouver un espace intérieur respirable

Revenir à soi. C’est parfois le plus difficile. Le burn out laisse une sensation de vide, d’échec, de honte. Pourtant, il dit souvent quelque chose de très ancien : un mode d’être hérité, forgé dans l’enfance, renforcé par la société. Il ne s’agit pas seulement de guérir. Il s’agit de transformer.

Chaque consultation pour burn out devient alors une bulle. Un lieu pour se réapproprier son histoire. Pour sentir ce qui se joue dans le corps, dans les silences, dans les émotions étouffées. On n’y vient pas pour aller bien tout de suite. On y vient pour que quelque chose se décante. Que l’intériorité retrouve une place.

Certaines personnes découvrent aussi que leur épuisement professionnel révèle d’autres fragilités. Des troubles de l’humeur, un trouble de l’attention non détecté, un perfectionnisme chronique. D’autres, au contraire, prennent conscience que leur effondrement est un signal salutaire. Une rupture qui ouvre à autre chose.

Il est alors possible de faire un détour par une thérapie anxiété ou par un accompagnement burn out qui s’inscrit dans une lecture plus large. En reconnectant les points, l’accompagnement permet de comprendre ce que le burn out a essayé de dire à la place du sujet.

Ce chemin peut aussi croiser des enjeux liés à la dépression, à la question de la réussite, de la reconnaissance. C’est pourquoi les personnes qui viennent pour un accompagnement du burn out peuvent aussi bénéficier d’un éclairage sur leur positionnement professionnel, affectif, ou existentiel.

Dans certains cas, l’accompagnement du burn out révèle des schémas transgénérationnels. Des histoires de loyauté invisible, de devoir de réparation. L’analyse permet alors d’interroger ce qui se répète, malgré soi.

Le cabinet du 2e arrondissement, ou celui du 10e, accueille ces parcours avec souplesse. Pour celles et ceux qui ne peuvent se déplacer, les séances sont possibles en visio, avec la même qualité de présence. À tout moment, une orientation est envisageable si une psychothérapie pour la dépression plus soutenue semble nécessaire.

L’essentiel reste d’ouvrir un espace. D’offrir un lieu de décompression intérieure. Un lieu où le silence est aussi bienvenu que la parole.

FAQ

  1. Quels sont les signes d’un burn out nécessitant un accompagnement psy ?
    Fatigue chronique, troubles du sommeil, perte de motivation, pleurs fréquents, isolement, sentiment de vide… Ces signaux doivent vous alerter.

  2. Un burn out peut-il cacher une dépression plus profonde ?
    Oui. Le burn out peut être un révélateur. Un accompagnement psy pour le burn out peut permettre de différencier les deux.

  3. Est-ce que la psychanalyse est adaptée au traitement du burn out ?
    Oui. L’approche analytique permet de travailler en profondeur les racines émotionnelles et inconscientes du surmenage.

  4. Le cabinet est-il situé uniquement à Paris ?
    Oui, dans les 2e et 10e arrondissements. Il est aussi possible de consulter à distance, en visio.

  5. Combien de temps dure un accompagnement du burn out ?
    Cela dépend de chaque parcours. L’objectif n’est pas la rapidité, mais la transformation. Le rythme est ajusté à chaque personne.

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