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Thérapie pour guérir d'un traumatisme de l'enfance

Les chocs du passé résonnent au présent 

Un silence. Un regard. Une absence. Parfois, c’est une parole de trop. Ou une main qui aurait dû protéger. Le traumatisme psychologique de l'enfance se glisse dans les replis du corps et de la mémoire émotionnelle qui structure à terme notre personnalité. Il façonne des manières d’être, de réagir, d’aimer. Longtemps après les faits, il revient. Dans l’angoisse, la colère, les schémas qui se répètent.

Marina Cavassilas, auteure de Traumatismes infantiles et conditionnement du caractère a conçu une thérapie pour guérir d’un traumatisme de l’enfance, un espace dédié où ces traces peuvent enfin se dire et guérir. Pas pour revivre. Pour transformer. En séance, le cadre posé avec soin permet de déposer ce qui ne trouve pas sa place ailleurs ou s’éprouve systématiquement avec douleur. Ce travail peut s'engager en cabinet dans le 2e ou le 10e arrondissement, ou en téléconsultation.

Dans cette approche analytique, chaque mot et chaque expression du corps comptent. Chaque silence aussi. À travers l'écoute de la parole et du langage corporel, la souffrance prend une forme signifiante. Elle cesse d’être une boule floue dans le ventre. Elle devient récit. Histoire. Elle peut alors se modifier.

Ce processus s’adresse à tous. Adulte conscient d’une blessure ancienne. Enfant, adolescent ou jeune adulte traversés par une angoisse diffuse, un trouble de l’attention. Parent qui ne veut pas transmettre sa blessure à ses enfants. Ou personne simplement en quête de sens. Tout commence par cette décision : ne plus porter seul ce qui appartient au passé. Désactiver le passé douloureux pour écrire son histoire comme on l’entend.

Dans certaines situations, ce parcours croise celui de la thérapie TDAH, quand l’agitation intérieure, la dispersion ou l’impulsivité masquent en réalité des blessures anciennes, enfouies, mais actives. Ce lien entre vécu infantile et troubles actuels mérite d’être exploré en finesse.

Sortir du figement pour retrouver un mouvement intérieur

Le traumatisme laisse souvent un corps figé, une pensée bloquée, des émotions confuses. La thérapie du stress post traumatique s’adresse à ces états d’urgence intérieure. À ce sentiment d’être en alerte permanente, même sans danger apparent. Ici, pas de protocole figé. Le cadre s’adapte à l’intensité du vécu.

À Paris ou à distance, les séances permettent de revenir, à son rythme, sur ce qui a été trop violent, trop tôt ou trop souvent. L’objectif n’est pas d’oublier, mais de pouvoir penser ce qui jusqu’ici faisait trop mal. C’est souvent à ce moment-là qu’un basculement s’opère. On cesse de revivre. On commence à vivre.

Dans cette approche, le lien thérapeutique devient central. La relation qui se tisse avec la psychanalyste à Paris, Marina Cavassilas experte dans les traumatismes de l'enfance, sert de point d’appui pour traverser les secousses. Elle offre la sécurité qui, souvent, a manqué. Sa connaissance des 18 traumatismes de l’enfance qu’elle décrit dans son ouvrage, et son soutien actif, permettent de revisiter, sans se perdre.

Le travail peut aussi se déployer dans la durée, selon l’intensité du vécu et la manière dont il s’exprime aujourd’hui. Certaines personnes viennent avec une mémoire claire. D’autres sentent juste un mal-être sourd. L’analyse accueille les deux. Car ce n’est pas le fait, mais sa trace qui importe ici.

Cette psychothérapie analytique vise à donner une place à ce qui n’a pas pu en avoir. À ouvrir un espace intérieur respirable. C’est souvent à ce moment qu’émergent des choix plus libres, des relations plus sereines, une présence à soi plus pleine.

La psychologie du traumatisme de l’enfance à travers une lecture analytique

Comprendre la psychologie du traumatisme de l’enfance, c’est aussi reconnaître que tout ne se soigne pas à coup de conseils positivistes. Ce n’est pas une question de volonté. C’est une mémoire logée dans le corps, dans les affects, dans l’inconscient qui agit au-delà de la pensée rationnelle. Elle ne se laisse pas dompter, elle se travaille.

L’approche analytique, telle que pratiquée dans les cabinets de Paris 2 ou 10, invite à une plongée douce mais profonde dans cette mémoire. Sans précipitation. Sans injonction. Simplement avec rigueur, attention et bienveillance.

C’est un travail qui demande du courage, oui. Mais il offre, en retour, une transformation durable. La possibilité de reprendre la main sur sa propre histoire. D’identifier les répétitions, les pièges, les loyautés invisibles, la honte et la culpabilité enfouies. De faire un pas de côté, essentiel pour ne plus faire comme avant, mais se voir faire, et pouvoir faire autrement.

Ce cheminement peut également faire émerger d’autres dimensions, qui jusque-là passaient inaperçues. L’intensité émotionnelle, la difficulté à se concentrer, les mouvements d’humeur. Autant de signaux qui peuvent évoquer un TDAH non repéré. Dans ce cas, la thérapie TDAH peut se penser en articulation avec le travail sur le traumatisme.

La thérapie pour guérir d’un traumatisme de l’enfance devient alors un lieu d’exploration globale. Un espace où le corps, la parole, l’histoire et le présent se répondent. C’est à travers cette complexité assumée que le sujet peut se remettre en mouvement.

Pour celles et ceux qui n’ont jamais parlé de leur vécu, il n’est jamais trop tard. L’essentiel n’est pas dans la chronologie. Il est dans la rencontre. Dans ce moment précis où quelqu’un écoute avec respect. Vraiment.

FAQ

  1. Comment savoir si j’ai subi un traumatisme pendant mon enfance ?
    Des schémas de répétition, un sentiment de vide ou d'absence, des émotions intenses ou des réactions disproportionnées peuvent en être les traces. La thérapie aide à identifier et nommer ces empreintes. A y remédier.

  2. Est-ce que ce travail est adapté aux adultes ?
    Oui. La thérapie pour guérir d’un traumatisme de l’enfance s’adresse à toute personne, quel que soit son âge, qui ressent le besoin de revisiter son histoire et d’agir plus librement dans le présent.

  3. Combien de temps dure un accompagnement ?
    Cela dépend de chacun. Il n’y a pas de durée prédéfinie. Le rythme est ajusté ensemble au fil des séances.

  4. Est-ce possible de faire ce travail à distance ?
    Oui. Les séances en visio offrent un cadre sécurisé et respectueux, identique à celui du cabinet.

  5. Et si je découvre un TDAH en cours de route ?
    Une thérapie TDAH peut être proposée en complément. L’approche analytique prend en compte la globalité du sujet.

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